Les proches ne sont hélas pas vraiment bien préparé·e·s à ce qui les attend et à l’ampleur des conséquences d’une lésion cérébrale sur la vie quotidienne. J’en ai fait moi-même l’expérience lorsque mon mari a été victime d’un grave accident vasculaire cérébral (AVC) à l’âge de 37 ans. J’ai été soulagée de pouvoir poser les questions qui me préoccupaient à FRAGILE Suisse et de demander de l’aide ou des conseils.